• POSE DES ARCHES 100% 100%
  • MURETS 100% 100%
  • CHARPENTE 100% 100%
  • COUVERTURE 100% 100%
  • PAVEMENT AU SOL 100% 100%
  • ELECTRICITÉ 60% 60%

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TRAVAUX RÉALISÉS SUR LE CLOITRE

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Le premier cloître
En fouillant le sol, on s’est rendu compte qu’il existait déjà un cloître, sans doute en bois, et qui avait disparu avec le temps.

Cette trouvaille archéologique a été confirmée par une trouvaille documentaire puisqu’à cette occasion on découvre que cette église était en fait la chapelle d’un prieuré fondé au XIe siècle.

Comme ce premier cloître était petit, nous l’avons doublé.logo

Le nouveau cloître
L’étude de la chapelle nous a révélé que si sa construction première était romane sa restauration et son agrandissement étaient gothique ce qui a eu, entre autres, comme conséquence la « gothisation » de la porte principale. En conséquence, nous avons fait le choix de la continuité et donc opté pour un cloître gothique.

Ce cloître est la réplique d’un cloître rennais situé dans l’école Saint-Vincent. En souvenir et en hommage de la date d’achat qui était le 13 mai 1992 (apparition de Fatima), nous avons retenu sur la longueur 13 arches et sur la largeur 5 arches. Les bases de ces arches sont en granit jaune, le reste en pierre de Richemont. Les murs supérieurs et les murets inférieurs liant les colonnes sont en pierres de pays.logo

 

Sa construction

La construction du cloître était doublement compliquée du fait de la nature même des arches lesquelles étaient, de surcroît, non soutenues. Ce travail a demandé deux années durant lesquelles il a fallu préparer le sol, en creusant les fondations afin de pouvoir poser les premières pierres de granit qui allaient recevoir l’ensemble des arches, puis monter une à une les 36 arches qui le composent.

Le préau, quand à lui, nous a fait prendre conscience du problème de l’eau qui une fois arrivée au centre devait être évacuée rapidement. Il nous a fallu créer tout un système de canalisations intérieures qui a consisté à creuser la roche-mère, sur une profondeur d’un mètre, et un réseau d’évacuation externe.  logo